Alliance pour le Finistère (Site officiel)
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Pourquoi les dépenses liées aux MIE explosent-elles ?
L’accueil des mineurs isolés étrangers est une politique qui relève de la protection de l’enfance. Un mineur isolé et étranger est avant tout un mineur isolé aux yeux de la République, et nous devons lui offrir accueil et protection.
L’évolution professionnelle des agents du département
La majorité socialiste est aux commandes d’un département qui compte près de 3800 agents, ce qui représente un budget annuel de 138 millions d’euros. Seulement, ce budget est trop souvent considéré comme inflexible. Et si c’est le cas, c’est plus par idéologie que par réel souci de bonne gestion.
Pourquoi les satellites du département se multiplient-ils ?
Les satellites du département (SAFI, CAUE, etc…) font partie de ce qu’on appelle de façon complexe « l’ingénierie publique départementale ». Derrière cet intitulé complexe se cache des prestations effectuées pour les collectivités… par les collectivités territoriales.
Pourquoi le département ne suit-il pas les recommandations de la Chambre régionale des comptes ?
Le 23 juin 2016, la Chambre régionale des comptes soumettait un rapport sur la gestion du réseau Penn-Ar-Bed Tous au numérique. Ce rapport était d’une grande sévérité.
L’accueil des mineurs isolés étrangers
Le drame des flux migratoires pose la question de l’accueil des jeunes migrants. Lorsque des jeunes étrangers, isolés de tout lien familial, rejoignent notre pays, ils sont considérés comme « en danger » par l’Etat. De ce fait, ils entrent de plein droit dans les dispositifs de protection de l’enfance et sont pris en charge par les départements. Lire la suite…
Quel soutien pour les associations du département ?
La vitalité associative du Finistère est reconnue. il est dans la culture finistérienne de s’engager. Engagement sportif, culturel, citoyen, social… Beaucoup de Finistériens ont des activités bénévoles qui renforcent les liens humains.
Dans un contexte de réduction de la dépense publique, les collectivités territoriales revoient leurs priorités. Le Conseil départemental n’échappe pas à cet exercice difficile.
La majorité socialiste a ainsi revu des subventions pour nombre d’associations, clubs ou manifestations. Les dernières en date : Festival de Cornouaille et Ensemble Matheus. Bien souvent, ce sont de plus petites structures qui sont touchées.
Parallèlement à ces décisions subjectives et arbitraires, la majorité socialiste a souhaité organiser des « Etats Généraux de l’engagement associatif et du bénévolat » pour étudier « les problèmes rencontrés par le monde associatif et les solutions pour y remédier. »
Encore une fois, plutôt que d’agir, c’est un colloque qui est organisé. Et il ne débouchera sur rien, si ce n’est d’autres baisses de subventions opaques.
Une politique jsute pour les associations consisterait à les considérer comme les partenaires du département. Les associations sont un relais de notre action et permettent d’étendre efficacement nos politiques sociales, sportives et culturelles. En tant que partenaires du Finistère, elles ont également une responsabilité : celle de partager avec le Conseil départemental l’effort de maîtrise de la dépense publique.
Le département n’est pas géré
Après plus d’un an d’exercice des responsabilités par une nouvelle majorité socialiste, nous constatons que le Département n’est pas géré.
En effet, depuis les dernières élections départementales, les fautes et les erreurs de gestion se multiplient.
Nous voulons réorienter l’action du département vers le soutien à l’emploi
Avec près de 70 000 chômeurs, notre département s’enfonce dans la crise : plus que jamais, nous sommes convaincus que les entreprises doivent être soutenues et encouragées, parce que seule une économie forte crée des emplois. Une entreprise qui crée un emploi fera toujours plus de « social » pour le chômeur qu’elle embauche que toutes les subventions!
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Nous nous opposons à toute augmentation des impôts et demandons l’adoption d’une gestion rigoureuse, efficace et transparente
Depuis 17 ans passés à la tête du département, la majorité socialiste départementale a créé 600 nouveaux emplois publics, de nouveaux organismes aux missions mal définies, et a laissé filer les frais de fonctionnement du département. Les impôts ont augmenté en conséquence et pèsent sur le pouvoir d’achat des Finistériens.
La France est l’un des pays du monde dans lequel les impôts et la dépense publique sont les plus élevés, et la réglementation la plus illisible. Toutes les institutions publiques ont leur part de responsabilité dans ce triste record : nous nous battons en faveur d’une gestion beaucoup plus rigoureuse de l’argent public au niveau départemental, pour préserver les versements de solidarité et les investissements structurants malgré le désengagement de l’Etat, sans augmenter les impôts.